Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityA Dream of Ice and Fire
Scénarios attendus
Lune 12, 875 AC. L'été est là, le petit peuple se réjouit alors que les seigneurs s'inquiètent à l'heure où un nouveau roi vient d'être couronné en la personne de Maegor I Targaryen.
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"I had a dream, I got everything I wanted." ft. Robert Baratheon

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When does a candle become a blaze?
Assise devant sa coiffeuse, Alys était entrain de coiffer ses longs cheveux sombres qu’elle tirait de son paternel. Croisant ses propres yeux ténébreux dans le miroir, la brune poussa un long soupir. Lorsque la jeune femme croisait son reflet, elle y voyait le visage d’une jeune fille qui avait toute la vie devant elle et qui pourtant avait déjà toute une vie derrière elle, ou plutôt, toute une mort et une longue série de pertes. Ce fut d’abord sa belle-mère, qu’elle avait finalement considéré comme une véritable mère, qui lui fut enlevée lorsque Dyanne la chassa de Villevieille. Puis, son père et ensuite plusieurs de ses frères. Ainsi que son époux, tristement assassiné le jour même de ses noces. Le souvenir de son mariage sera à jamais hanté par le sang, les cris et l’horreur. Alys ne voulait plus se marier. Jamais. Elle, qui, enfant avait toujours rêvé de cet instant, ne voulait plus qu’une occasion se présente si cela devait se finir ainsi. Même si Alys n’avait jamais été amoureuse et n’avait ressenti pour Joffrey Risley que de l’amitié, elle s’était sentie chanceuse d’avoir un époux qui l’estimait et l’appréciait. Désormais, il était mort et avec lui, l’espoir de paix entre religions.

La brune avait l’impression de ne plus avoir aucun but depuis que son mariage avait été réduit à néant, de ne plus être d’aucune utilité. Un partie d’elle en voudrait toujours à Dyanne pour cela. Toute sa vie durant, on l’avait formé sur les religions, sur la connaissance de celles-ci. Elle s’était encore davantage instruite lorsqu’elle avait été la suivante de la princesse de Dorne. Elle n’abandonnait cependant pas cet espoir de paix entre toutes les croyances et même si elle savait que la guerre était aux portes de tout Westeros, elle espérait qu’après la tempête viennent les rayons du soleil. En tout cas, elle savait qu’elle mettrait tout en œuvre pour améliorer le futur de Westeros et aussi égoïstement, elle voulait penser un peu à elle et ne plus être l'objet d'alliances qui tomberaient. Lady Risley, si elle pouvait encore s’appeler ainsi, se leva et arrangea sa robe avant de quitter ses appartements. Ses chaussures résonnaient dans les couloirs alors que la jeune femme se dirigeait dans la pièce principale pour rejoindre son frère Trystan, son seul réel soutien dernièrement puisque l’entente avec sa mère était des plus électriques.

Cependant, à la place de boucles blondes, elle aperçoit une chevelure noire semblable aux plumes d’un corbeau. Alys cligne plusieurs fois des yeux face à cette silhouette imposante qui porte néanmoins l’emblème du cerf. La brune en déduit donc qu’elle a devant elle, un Baratheon. Son visage ressemble aux vieilles gravures que l’on faisait du roi Robert mais elle ne pouvait l’affirmer avec certitude puisque les dessins n’étaient pas toujours fiables. Elle se racla la gorge pour signaler sa présence et lui sourit pour l’accueillir, penchant légèrement la tête, n’en oubliant pas les bonnes manières.


« — Lord Baratheon, soyez le bienvenu à Villevieille. »

Beaucoup y avaient fait des allées et venues dernières, et notamment les descendants Targaryen d’Alicent Hightower. Alys avait apprécié ce retour. De son point de vue, plus Villevieille avait d’alliés et mieux c’était. Baratheon et Hightower avaient dernièrement été proches, il n’y avait aucune raison que cet homme soit venu en ennemi aujourd’hui. De toute façon, elle le saurait bien vite si tel était le cas. Elle était loin d’être idiote bien que de nature douce. La brune lui afficha un sourire, scrutant son visage plus longtemps que l’étiquette ne le permettait. Il fallait dire que l’homme était tout à faire charmant et qu’on lui donnerait le grand septon sans confessions. Il ressemblait au charmant homme que l’on décrivait toujours dans les livres. Une beauté parfois aussi grande que dangereuse.

« — J’imagine que vous attendez Trystan. J’ignore où se trouve mon frère, je le cherchais aussi. Mais en attendant, vous pouvez vous contenter de ma compagnie. Je m’appelle Alys. Venez donc avec moi marcher un peu dans les jardins et expliquez moi ce qui vous amène à Villevieille.  »

Avait dit la jeune femme, ne lui ayant pas posé une seule question en réalité puisqu’elle n’avait placé quasiment que des exigences derrière un ton mélodieux. L’assurance n’était pas ce qu’il manquait à la brune. Elle s’était d’ailleurs déjà dirigée vers la cour verdoyante où les quelques rayons de soleils venaient illuminer la verdure.
by CrimsonTulip


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I had a dream, I got the girl of my dreams
It's alarming, honestly
How charming she can be
Fooling everyone
Telling 'em she's having fun
The boys, the girls
They all like Carmen
She gives them butterflies
Bats her cartoon eyes
She laughs like God
Villeville était une cité autant remplie d’Histoire que de mystères. Même à distance, sur le bateau où il avait embarqué la veille, Robert avait aperçu au loin la ville blanche immaculée derrière l’écume des vagues et les roches taillées du port qui se dressait là, jugeant de sa hauteur opulente la nature sauvage, hostile et dénudée de civilisation humaine qui l’entourait. Depuis Accalmie, le trajet avait été bien plus court qu’en diligence et il était parvenu à destination en fin de soirée. A peine descendu avec les autres passagers, des marchants qui se pressaient pour dresser leurs étalages de produits venus des quatre coins du continent ou d’Essos, il s’était un peu promené dans la ville. Il n’avait jamais pris la peine d’y aller, même pas à Hautjardin. Lorsqu’il était roi, il n’avait pas besoin de prendre la peine d’aller se promener dans le Bief et d’entretenir ses relations avec les Tyrell. Il avait accepté que Lady Margaery soit donnée à Renly, son frère Loras avait reçu une prestigieuse place dans la Garde Royale et c’était réglé, il n’avait plus à se préoccuper de la loyauté des roses qui mettaient désormais leurs épines à son service. Aujourd’hui, tout était si différent… la dynamique des pouvoirs avait changé dans le Bief, et c’était un œil aussi intéressé qu’inquiet que Robert Baratheon portait sur Villevieille.

Après l’embrigadement terrifiant de Stannis dans cette foutue secte du feu, les querelles religieuses était une source d’inquiétude constante pour lui. Le puritanisme des prélats qui prêchaient les Sept l’ennuyait profondément mais il savait qu’il fallait inclure ces clowns dans la balance des pouvoirs pour le bien du royaume parce que le peuple les aimait et suivait généralement les bêtises monumentales qui sortaient de leurs bouches. En revanche, la Foi Militante était un danger. Un danger très réel, très puissant et très présent au point d’être devenu une véritable gangrène pour le Bief. Robert faisait partie de ceux qui s’en méfiaient comme du fléau de Valyria, il était prêt à donner son soutien si une nouvelle guerre de foi venait à éclater, lui qui ne craignait ni la colère ni le jugement des Sept. Quel pouvoir avaient-ils sur Robert Baratheon, lui qui avait été ramené des morts par le suicide d’un stupide Fidèle de Trios qui ne croyait même pas en eux ? Sans compter qu’il avait toujours eu l’intention de passer par la cité immaculée, dans tous les cas : il avait un passage inévitable à faire à la Citadelle. Il voulait impérativement savoir tout ce qui s’était passé après sa mort.

Ses plans furent cependant contrariés. Comme souvent, alors qu’il était en chemin avec une idée bien précise en tête, sa route croisa celle d’une femme et ses neurones semblèrent s’éteindre instantanément. Elle était là, au lavoir, près du lac. Pas la plus jolie mais pas la plus laide non plus. Les manches de sa robe retroussées jusqu’aux coudes, les cheveux châtains mal fagotés dans un foulard en lin, pouffant de rire avec d’autres femmes tandis qu’elles trempaient du linge ensemble. Lorsqu’elle s’était rendue compte que Robert la regardait en retour, elle avait souri. Et ensuite, le reste était flou mais le cerf se réveilla dans une toute petite chambre, dans un lit beaucoup trop réduit pour deux personnes et les jambes mêlées à celles de cette femme. Le matin venait à peine de poindre lorsqu’elle se réveilla en sursaut à l’entente d’un son de cloche. Complètement paniquée, elle chercha les affaires de son amant d’un soir éparpillées sur le sol et les lui lança au visage en espérant le réveiller, tandis que la cloche sonnait une deuxième fois avec plus d’insistance.

« Réveillez-vous, il faut partir ! Je n’ai pas le droit de ramener des jeunes hommes ici !
— Juste deux minutes Jeyne »
, supplia-t-il, encore à moitié ensommeillé, ce à quoi la femme répondit par un bruit outré suivi d’un « mon nom c’est Freya, espèce de goujat ! » et il coussin envoyé à pleine vitesse dans sa pauvre figure endormie. Une fois qu’il fut chassé hors du lit comme un malpropre et vêtu de sa chemise, elle commença à expliquer d’une voix paniquée qu’elle était domestique au service d’une certaine Lady Aliénor et qu’elle était très en retard. Oh. C’était donc pour cela que la chambre était aussi minuscule qu’une souricière : il se trouvait dans les appartements des domestiques d’une grande demeure. Mais il ne percuta pas tout de suite qui était Lady Aliénor. Freya parvint à le mettre à la porte en quelques minutes et la claqua dans son dos, laissant le pauvre homme débraillé et perdu dans l’immensité d’un château qu’il ne connaissait pas. Et soudain, il comprit : Aliénor, c’était le prénom de l’épouse de Trystan Hightower. Il se trouvait donc à l’intérieur du château de Villevieille, un endroit où il n’avait certainement pas prévu de se trouver.

« Oh merde. »

Il se rhabilla avec un peu plus de soin, sans miroir. Mais le rouge sur ses joues, ses cheveux un peu décoiffés et ses vêtements froissés ne tromperaient pas les yeux les plus avisés sur ses activités de la veille. Une fois sorti de l’aile du château réservée aux domestiques par une porte dérobée, il commença à se balader dans les escaliers, les couloirs et les halls en essayant de ne pas avoir l’air trop suspect. Au vu de ses vêtements nobles et du symbole Baratheon qui y était cousu, il ne reçut aucun regard suspicieux et personne ne vint l’apostropher en lui demandant ce qu’il fichait ici. C’était normal après tout, Trystan devait bien tenir des relations diplomatiques avec Lady Elenda, ils semblaient bien s’entendre. Robert faisait tout son possible pour garder une face neutre mais à chaque nouveau couloir qu’il traversait, il sentait qu’il s’éloignait de la sortie de ce labyrinthe infernal. Il ne se souvenait pas du tout de comment il était entré, Freya était probablement passée par un passage secret. Il s’arrêta au hasard devant une peinture, croisa ses mains dans son dos et feignit de l’admirer pendant qu’il calmait son esprit et tentait de se souvenir de la chronologie exacte des événements de hier soir, juste avant qu’il ne s’écroule sur le lit. Jusqu’à ce qu’une douce voix résonne dans son dos.

En se tournant, il crut d’abord apercevoir Lyanna Stark. Une femme grande et svelte, aux cheveux bruns presque de jais et aux yeux si sombres qu’on ne distinguait guère sa pupille de son iris. Exactement le genre de femme pour qui il lèverait une armée et enterrerait toute une dynastie, en somme. Mais ça ne pouvait pas être son ancien amour, parce que cette femme lui souriait et ne semblait globalement pas mécontente de le voir alors que si c'était Lyanna, elle se mettrait en colère à sa simple vue. Il dut la fixer stupidement pendant un peu trop longtemps, jusqu’à ce que le silence devienne un peu trop pesant. Il se racla la gorge et dansa maladroitement sur ses pieds.

« Je vous remercie. Excusez-moi, je ne vous avais pas vue, j’étais en train d’admirer… » Il désigna maladroitement le tableau, qu’il n’avait même pas pris la peine de vraiment regarder. C’était une sorte de nature morte avec uniquement du vin et des fruits de la région. Et de surcroît, de très mauvais goût. « …les fruits, j’imagine. » Son sourire se fit soudain plus charmeur, signe qu’il était sur le point de faire une bêtise. Mais comment pouvait-il combattre ses faiblesses d’homme face à une telle créature envoyée par l’œuvre divine de la Jouvencelle ? Impossible. Il se pencha un peu plus vers elle, avec ce regard profond qui fait rougir de la plus vierge des femmes à la dernière des prostituées. « Mais votre beauté dépasse celle de n’importe quelle œuvre d’art que ce château renferme. Auriez-vous un moment de libre ce soir, pour parler peinture autour d’un verre du meilleur vin de Hautjardin ? »

Au début elle parla de Trystan, et il en fut un peu confus. Il n’était définitivement pas venu voir Trystan, il n’avait même pas l’intention de venir ici en premier lieu. Ne voyait-elle pas que c'était son doux visage qui l'intéressait ? Mais la suggestion de cette sublime demoiselle faisait sens, elle le voyait avec les symboles de sa Maison alors elle supposait sûrement qu’il était envoyé par Elenda pour diffuser un message ou en visite de courtoisie. Belle et intelligente, en plus. « J’ignore où se trouve mon frère, je le cherchais aussi », affirma ensuite cette délicieuse créature et attendez, quoi ? Son frère ?! Robert se mortifia sur place en réalisant qu’il venait de tenter de séduire la sœur du suzerain du Bief. Il songea à s’excuser l’espace d’un instant mais Alys — joli prénom, nota-t-il — ne semblait pas en colère ou même embarrassée, elle lui proposa même de marcher avec lui dans les jardins.

« A vrai dire Lady Hightower, je me trouve dans une situation fort délicate : me voilà complètement perdu. Auriez-vous l’amabilité de me montrer le chemin pour sortir d’ici ? » Il avait baissé la voix, comme pour lui faire comprendre qu’il était en train de partager un secret avec elle. Ce qui n’était pas exactement faux. « Et surtout… si qui que ce soit vous demande si vous avez aperçu Ser Robert Baratheon ici, il faut dire non. Surtout si c’est votre frère. Vous ne m’avez pas jamais vu, vous ne me connaissez pas et je ne suis jamais venu ici. Vous comprenez ? »
by CrimsonTulip


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When does a candle become a blaze?
C’est l’air presque amusé qu’Alys contemplait le Lord Baratheon qui avait tout à fait l’air d’être sorti des appartements d’une des servantes du château de toute évidence. Arquant un sourcil à sa remarque sur le tableau qu’il admirait alors qu’il avait l’air à moitié débraillé, Alys pencha la tête sur le côté. Il était vraiment amusant et elle devait l’avouer, séduisant. Un visage pareil avait dû faire fureur la nuit passée. A vrai dire, la jeune lady Hightower n’avait connu qu’un seul homme dans sa vie : un mari qui ne le fut que quelques heures et qui avait été un mariage arrangé. Elle ne s’était ensuite pas posée de question sur ce qui lui plaisait et elle devait avouer que ces cheveux et yeux sombres étaient tout à fait à son goût. Mais, il serait inconvenable pour une fille de la cour d’avouer cela, surtout dans une époque où la maison Hightower avait plus de poids que dans le passé.

« — J’ignore ce que vous admiriez Lord Baratheon, mais je pense que c’est plutôt la chambre à coucher d’une servante, et non la peinture qui se trouve au mur. »

Avait-elle dit, le ton amusé et avec un sourire angélique, qui faisait tourner la tête des jeunes hommes la plupart du temps. La douce Alys pouvait souvent dire ce qui lui chantait avec un sourire pareil. Tout comme lorsqu’elle faisait semblant d’être une idiote pour mieux duper l’ennemi. Nul besoin de faire l’idiote devant cet homme cependant. La brune aimait aussi paraître instruite, puisqu’elle l’était. La jeune Alys fut prise de court par son soudain compliment. Ayant peu reçu de compliments de ce genre dans sa vie, ses joues en furent automatiquement rougies sans qu’elle ne le contrôle. De toute évidence, Robert ne savait pas à qui il s’adressait, ce qui poussa la brune à être plus audacieuse.

« —Bien sûr, j’ai toujours affectionné l’art. Nous nous retrouvons ce soir en ce cas. Ce sera avec plaisir, mais évitez de sortir les violons que vous sortez à toutes les femmes que vous croisez, je vaux mieux que cela. J’en attends beaucoup de cette soirée, et du meilleur vin de Hautjardin.   »

souffla Alys, son visage alors plus proche du sien puisqu’il s’était penché vers elle et un sourire plus narquois. Cette idée l’émoustillait à vrai dire. Voilà des lunes qu’Alys broyait du noir, était en conflit aves sa mère et portait le deuil. La jeune lady Hightower voulait s’accorder rien qu’un moment, en bonne compagnie c’était un plus. La douce Alys avait bien mérité un peu de réconfort et au diable ce que penserait Dyanne, de toute façon le dialogue entre Alys et sa mère était très rompu à commencer par le fait qu’elle ne l’avait pas élevé, puis qu’elle la pensait responsable de son mariage raté et qu’elle avait l’impression de ne jamais réellement la satisfaire. La jeune Hightower n’était pas sans ignorer la situation de Trystan. Alors si l’homme pouvait avoir une relation des plus étranges, elle pouvait bien juste prendre un verre de vin avec un homme.

La brune remarqua qu’il comprit enfin à qui il parlait et elle joint ses mains dans son dos, l’air mi amusée mis exaspérée bien que le doux sourire qu’elle lui offrait put effacer ces deux sentiments de son expression faciale.


« —Je connais en effet la sortie. Mais l’invitation tient-elle encore, Lord Baratheon ?  »

Alys comprit à sa panique et ses gestes que Robert n’avait pas eu l’intention de pénétrer ce château de toute façon. Il confirma être Robert Baratheon et un sourire de satisfaction traversa son minois, ravie d’avoir vu juste. Elle lui fit un mouvement de tête pour qu’il la suive à travers la bâtisse alors qu’elle se dirigeait vers une des sorties, le pas lent.

« —Entretenez-vous de mauvaises relations avec Trystan pour être presque autant effrayé qu’il n’apprenne votre venue ? Nombreux sont les seigneurs qui posent le pied à Villevieille et Trystan n’est pas mauvais. Ou peut-être avez-vous eut vent de la présence de Targaryen ici ? Mais je vous assure, ils sont plus Hightower que Targaryen en fin de compte. »

Alys connaissait son histoire et ce qu’avait fait Robert, ainsi que ce qu’il lui était arrivé. Une mort peu glorieuse, mais une vie remplie et chargée de rébellion, et de pouvoir. Il avait fait de grandes choses c’était indéniable, et elle en était intriguée.

« —J’avais deviné que vous étiez Robert, vous savez. Votre visage ressemble un peu à celui des gravures, bien qu’elles vous fassent peu justice quand je vous vois aujourd’hui.   »

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