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Lune 12, 875 AC. L'été est là, le petit peuple se réjouit alors que les seigneurs s'inquiètent à l'heure où un nouveau roi vient d'être couronné en la personne de Maegor I Targaryen.
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"I never claimed to be the bastion of temperance" ft. Daenerys Targaryen

Viserys III Targaryen

Viserys III Targaryen

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The last Dragons
❝I'm not gonna KILL you, you idiot! Despite your behavior, you're still my sister. ❞
Deux jours après sa rencontre avec Rhaegar Targaryen, son aîné, Viserys se trouvait toujours dans le Nord. Il ignorait en réalité ce qui lui avait fait prolonger son séjour dans ce pays froid aussi bien en température qu’en comportement. Viserys était un dragon, ne s’épanouissant quasiment qu’à des températures plus élevées que celles d’ici malgré son teint pâle et blanc qui même lors de sa vie sur Essos n’avait jamais bronzé. Assis sur la chaise en bois de la chambre de son auberge, Viserys regardait à travers la fenêtre la neige tomber sur les remparts de Winterfell qu’il apercevait au loin. En regardant la bâtisse grisâtre, le jeune prince Targaryen essayait de se souvenir pourquoi il avait prolongé son séjour. Etait-ce dans l’espoir de reparler à Rhaegar et d’espérer que les choses se passent mieux ? Etait-ce dans l’espoir d’apercevoir sa nouvelle et fraîche alliée Lady Sansa dont les cheveux de feu l’avaient à tout jamais marqué ? Il n’en savait rien. C’était plutôt comme une intuition ou un mauvais pressentiment. Comme s’il savait qu’il se passait quelque chose et qu’il devait rester pour savoir quoi.

Néanmoins, le lunatique Viserys pesta contra sa propre idée et se leva. Sa patience envers lui-même avait atteint des limites et il devait désormais retourner à Peyredragon pour retrouver son dragon Rhaelyx qu’il regrettait de ne pas avoir pris avec, mais il aurait été trop reconnaissable avec un jeune dragon vert dans un pays si enneigé. Quittant l’auberge après avoir payé son dû, le prince Targaryen remit la capuche de sa longue cape noire sur sa tête afin de cacher son crin argenté qui lui attirerait probablement des ennuis. Parfois, il se sentait comme de nouveau de retour à l’époque où il fuyait avec sa jeune sœur Daenerys aux hommes de Robert Baratheon. Il n’aimait pas ce sentiment, mais il en avait l’habitude. Bientôt les Targaryen retrouveraient leur gloire, il le savait. Que ce soit grâce à lui ou quelqu’un d’autres – bien qu’il préfère que ce soit lui. Il n’aimait pas spécialement l’idée du retour de Visenya sur le trône de Westeros par exemple, leurs relations semblaient assez tendues bien que vivant désormais sous le même toit.

Grimpant sur son cheval blanc, il se décida tout de même à aller jusqu’aux portes de Winterfell avant de partir. Viserys était décidé : il voulait une entrevue avec Lady Sansa. Pour parler stratégique ou juste pour l’embêter, cela restait à déterminer. Délaissant son cheval près du rempart principal, Viserys en descendit et commença à détacher ses affaires de la selle quand son regard vu happé par une vision fantomatique. Du coin de l’œil, il aperçut des cheveux argentés qu’ils ne connaissaient que trop bien et une silhouette bien trop fine et petite pour qu’il s’agisse de Rhaegar. Le cœur battant, il hésita d’abord à se tourner puis il trouva le courage de le faire. Les iris violets pâle de Viserys Targaryen se posèrent sur la jeune femme : Daenerys.

Viserys ne bougea d’abord pas, figé par cette vision. Il eut d’abord le réflexe de se demander si ce fantôme n’était pas un mirage. Hélas, l’on trouvait les mirages dans les déserts d’Essos et non dans les neiges de Winterfell. Avec tout ce qu’il se passait, le prince n’aurait pas dû être surpris de voir Daenerys mais comment ne pas l’être quand le dernier souvenir que vous aviez de votre sœur était elle vous condamnant à mort ? Bien sûr, Viserys l’avait largement mérité au vu des menaces qu’il avait proliféré contre sa sœur et l’enfant à naître. S’il avait parfois su se montrer attentionné avec elle, il s’était également montré cruel et sans cœur. Le deuxième fils d’Aerys avait hérité de quelques gènes de folie et il était un véritable lunatique dont la cruauté et l’arrogance égalaient la douceur et dont les émotions viraient du tout au tout en très peu de temps. Cela ne donnait rien de vraiment bon. Bien entendu, l’homme ne le voyait pas ainsi. Pour lui, il avait tout bonnement était trahi par sa jeune sœur.

Il ne savait pas réellement ce qu’il ressentait en la voyant. De la colère ? Oui. De la haine ? Également. De l’amour ? Oui, aussi. Après tout, elle avait été sa seule famille pendant des années et bien qu’il lui en voulait injustement d’avoir tué Rhaella, ça n’avait été là que les pensées d’un enfant de cinq ans qui avait vécu la guerre et avait porté toute une dynastie sur ses épaules en fuyant le pays par danger de mort et dont la seule figure rassurante venait de périr. Il s’était avec le temps attaché à l’enfant qu’il n’avait pourtant eu de cesse de traîner comme un boulet selon ses dires. Et il ressentait aussi un certain soulagement de la voir. Bien qu’elle l’ait « trahi », elle avait été leur dernière représentante et les nouvelles de sa mort avait terni son regard. Personne ne pouvait assassiner Daenerys à part lui. Les émotions étaient trop contradictoires pour le cœur de Viserys qui ne savait comment réagir. Il était là, à la fixer froidement avant de finalement se saisir de ses épaules, s’assurant une bonne fois pour toute qu’elle était là.


« — Je ne pensais pas un jour revoir ton si perfide et traître visage en face de moi, Dany.»

Ce surnom qu’il fut le premier à lui donner, tantôt affectueusement tantôt avec mépris et dégoût.

« — Tu devrais me donner une seule bonne raison de ne pas tout de suite mettre fin à tes jours comme tu as mis fin aux miens. Mais, je me consolerais en sachant que tu as brûlé Port-Réal, que malgré tous tes efforts pour ne pas être comme moi, tu as même été pire et que tu as tué bien plus de gens que je ne l’ai fait. Au fond, je crois que je ne ressens même pas de haine, sweet sister, seulement de la pitié. »

Viserys et Daenerys partageaient-ils finalement plus qu’ils ne l’auraient un jour pensé. La folie des Targaryen semblaient déjà les avoir animés. Si elle avait plutôt épargné Rhaegar, elle s’était diffusée dans ses deux cadets mais de façon différente. La folie de Viserys avait été rapide au vu de ses émotions qui fusaient et de ses nombreux problèmes psychologiques. La folie de Daenerys avait été bien plus diffuse, bien plus lente à venir. Pourtant leur point commun était que Viserys et Daenerys avaient tous les deux été persuadés de faire le bien. Il était amusant de penser qu’ils étaient peut-être les deux qui se ressemblaient le plus et qu’ils tentaient juste mutuellement de se convaincre qu’ils étaient l’opposé de l’autre. Les retrouvailles de Dany et Viserys n’étaient pas chaleureuses, au contraire et aux portes de Winterfell se jouait un vrai drame familial. Et pourtant, une part de Viserys restait étrangement contente de la retrouver, puisque ce qu'ils avaient vécu, seuls eux deux pouvaient le comprendre.
by CrimsonTulip




Viserys III Targaryen
The brave men didn't kill dragons, the brave men rode them.
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I never claimed to be the bastion of temperance
Dany & Viserys


Daenerys était l’hôte du Nord depuis plusieurs semaines à présent. L’hospitalité d’Arya était sans faille. Elle lui avait permis de rester autant qu’elle le désirait et même si Sansa l’avait clairement poussé à rejoindre les siens à Peyredragon, la rencontre avec son frère Rhaegar l’avait convaincu de rester encore un peu. Elle était éblouie par ce frère qu’elle avait si longtemps imaginé et fantasmé. Il était aussi charmant et courtois qu’elle se l’était imaginé. Et il y avait également Jon. Jon… Elle ne savait pas ce que l’avenir leur réservait dans cette vie, seulement qu’il y avait toujours de l’amour. Mais l’amour ne suffisait pas toujours, elle en avait fait la douloureuse expérience. Daenerys n’avait pas encore réalisé tout ce que le retour à la vie impliquait. Elle allait retrouver des êtres chers, des êtres qu’elle avait rêvé de croiser et des personnes honnies. Se retrouver sous le même toit que Sansa Stark avait été une épreuve pour elle. La folie l’avait saisi lors de sa première vie et la proximité de la nordienne rousse réactivait cela. Elle lui rappelait la froideur avec laquelle elle l’avait accueillie, la défiance qu’elle lui avait accordée. Daenerys, malgré sa volonté d’utiliser cette seconde vie pour ne pas retomber dans les travers de sa première, ne pouvait rester complètement impassible devant cette femme. Celle par qui le désastre avait clairement commencé. Les femmes n’avaient pas une vie toujours simple à Westeros comme à Essos. Mais cela ne les poussait pas toutes à être solidaires et Sansa en était le meilleur exemple. Elle avait largement poussé Dany à terre. La Targaryen ne parvenait pas à l’oublier même si elle avait appris à masquer ses émotions.

Elle savait qu’elle ne resterait pas éternellement à Winterfell. Elle se devait de retrouver sa place à Peyredragon auprès des siens. Rhaegar resterait bien sûr, par amour pour Lyanna. Et elle ? Aucun de ses amours n’était là. Missandei, Drogo, Daario. Aucun d’eux ne l’avait jamais trahi. Jon l’avait fait. Elle ne se souvenait que trop bien de la lame qui lui avait déchiré les entrailles alors qu’il l’embrassait une dernière fois. Dire qu’elle ne lui en voulait plus aurait été présumer de sa grandeur d’âme. Mais après tout, elle avait pardonné à Ser Jorah sa trahison. S’il ne l’avait pas tué de ses mains, les renseignements qu’il avait fourni à lord Varys avaient sans nul doute causé la mort de son enfant.

La jeune femme marchait d’un pas lent dans la cour près du rempart principal quand elle aperçut quelques cavaliers qui s’étaient arrêté près de la Grande Porte. Il y avait toujours des arrivées et des départs à Winterfell, rien d’étonnant. La Cour était le théâtre d’une activité bruissante qui la tirait souvent de sa torpeur. Son regard glissa sur les messagers qui arrivaient ou partaient sans s’y arrêter. Mais l’homme à bas de sa monture non loin d’elle la stoppa net, d’un regard. Une chevelure blanche semblable à la sienne, un visage qu’elle aurait pu reconnaître les yeux fermés. Il avait sa moue des mauvais jours, les jours où il se plaisait à hurler qu’elle avait réveillé le dragon. Elle resta figée, incapable de bouger ni même de réagir dans un premier temps. Viserys avait été sa seule famille depuis sa naissance jusqu’à son adolescence. Un homme violent, cruel mais qui l’avait aussi protégé, nourri. Et après ce qu’elle avait fait à Port-Réal, pouvait-elle encore le blâmer de sa folie ?

Il ne bougeait pas plus qu’elle quand soudain, il s’anima et s’avança droit sur elle, l’attrapant fermement par les épaules. Elle ne résista pas, ne lutta pas plus que cela. Avait-elle peur ? Non. La peur appartenait au passé. Elle n’était plus la petite Dany tremblante et effacée qu’avait connu son frère. Son mariage avec Drogo l’avait émancipé mais la suite de ses aventures lui avait apporté force et puissance. Et malgré son trouble, elle conservait encore une part de cela en elle. Elle répondit d’un ton froid :

Pas plus que je ne pensais revoir le tien, Viserys.  

Une partie de la jeune femme ressentait de la joie à revoir celui qui avait été son monde pendant tant de temps. Mais lorsqu’il reprit la parole, cette joie s’étouffa. Viserys avait toujours su être mordant dans ses paroles mais il n’aurait pas pu lui faire plus de mal. Le regard de Daenerys devint froid. Elle se dégagea de son étreinte mais ne recula pas.

Moi au moins, ce n’est pas la bêtise qui m’a emportée. Garde ta pitié, je n’en ai que faire. Tu aurais pu régner. Tu étais le dernier mâle de notre lignée. Et tu as failli en faisant preuve de pusillanimité. L’armée que tu n’as pas su t’attacher, je l’ai mené de l’autre côté du Détroit, jusqu’à Westeros. J’ai reconquis le Trône de Fer, à un prix terrible je te l’accorde, mais j’ai accompli ce que tu n’as pas su faire.





(c) DΛNDELION
Viserys III Targaryen

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Le regard de Viserys était posé sur celui de sa jeune sœur. Il était mort avant de la voir se métamorphoser complètement et n’avait fait qu’ouïr ses actes, ses exploits, ses échecs, sa grandeur d’âme, sa folie… Aujourd’hui, il en était témoin. Ses yeux violet pâle plantés dans ceux de sa sœur, il pouvait non plus y voir le regard d’une petite fille apeurée par les états d’âmes de son grand-frère mais les yeux d’une femme qui avait su se poser en conquérante comme le fut Visenya autrefois. Une Targaryen qui n’avait plus peur et dont le regard reflétait toute la détermination et la douleur par laquelle elle était passée. Daenerys avait sombré dans le folie comme Aerys, mais, avant cela, elle avait réussi à trouver des alliés et à avoir des dragons, et elle fut si proche de reconquérir ce qui appartenait à leur famille de droit. Elle avait marché dans ses pas, elle était devenue meilleure que lui, bien meilleure. Viserys leur avait permis de survivre, Daenerys avait failli reprendre le trône haut la main. Si Viserys s’acharnait à lui rappeler son échec, c’était parce qu’il lui en voulait et également, qu’il était connu pour sa jalousie.

Une fois le jeune prince avait dit à Jorah Mormont : Qui pourrait régner sans richesse, sans crainte et sans amour ? Daenerys avait réussi à obtenir les trois, aussi contradictoire cela soit-il. S’il avait été un meilleur homme, il aurait été fier d’elle, de ce qu’elle avait pu accomplir, de ce qu’elle avait fait là où il avait échoué. Mais, il n’était pas un homme bon même quand son côté lunatique lui offrait des moments de calme et de douceur, Viserys était loin d’être un modèle à suivre. Au lieu de la féliciter pour ses exploits, le dernier dragon serait là pour lui rappeler ses échecs. Peut-être que malmener sa sœur lui permettait de mieux encaisser ses propres échecs, sa propre vie gâchée.

« — Tu n'as rien reconquis du tout, Dany. Bran le Brisé a régné, pas toi. Tu es rentrée dans l’histoire, comme un tyran, celle qui a brûlé Port-Réal comme Aerys, notre père. Tu as condamné notre lignée toute entière en me faisant assassiner et en laissant l’esprit du roi fou te consumer. Au final, je préfère peut-être que personne ne se rappelle de moi, plutôt que l’on m’associe à cet échec cuisant, reine des cendres.»

Viserys fit claquer sa langue contre son palais et la laissa se reculer, après avoir craché une tonne de mots perfides. Son regard noir finit par s’adoucir, passant d’une émotion à l’autre sans crier gare. Le roi claudiqué et la reine des cendres, quelle réputation s’étaient-ils attirés finalement tous les deux. Ils faisaient bien la paire.

« — As-tu au moins regretté une seule fois ? »

demanda-t-il sur un ton plus calme avant de secouer la tête et de froncer les sourcils, l’air mécontent.

« — Je ne suis pas l’idiot que tu penses que je suis. Je sais pertinemment ce qui m’a poussé dans les bras de la mort. L’on disait autrefois que la seule chose qui pouvait détruire la maison du dragon était la maison du dragon elle-même et nous avons suivi cet enseignement comme des maîtres. Ce que je te reproche Daenerys, c’est de m’avoir supplanté et de m’avoir laissé mourir sous couvert de ma cruauté et de ma folie, quand tu n’as guère été mieux. Mais au moins tu sais ce que ça fait désormais, d’être poignardé dans le dos par ta seule famille. »

dit-il en parlant bien évidemment du coup qu’avait porté Jon à Daenerys, et du coup indirectement porté de Daenerys à Viserys, par la main de Drogo. Le Targaryen continuait de geindre et de se plaindre comme à son habitude. Bien sûr, Viserys était très injuste envers sa jeune sœur puisque lui aussi l’avait poignardé dans le dos en la vendant aux Dothrakis au lieu de la garder près de lui, malgré que cet acte l’ait poussé au sommet, Viserys avait été bien cruel de la traiter comme une marchandise mais à l’époque, rien n’aurait pu le séparer du chemin du trône, pas même sa propre sœur. Mais, Viserys était persuadé de n'avoir rien fait de mal, qu'il avait fait ce qu'on attendait de lui.

« —As-tu emporté le régicide dans ta chute ? »

Cette fois, Viserys demanda cela très sérieusement, passant de nouveau d’une émotion à l’autre. Bien que Viserys et Daenerys avaient traversé de nombreuses épreuves de famine, de pauvreté, de fuite et d’abandon ensemble, ce que Viserys avait vécu seul était la chute d’Aerys lorsque Jaime Lannister avait assassiné leur père, lorsque tout Port-Réal était à feu et à sang et que tout les membres de sa famille mourraient les uns après les autres. Il ne s’était pas encore renseigné sur le sort de Jaime Lannister, et il espérait le découvrir aujourd’hui.

by CrimsonTulip




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